TONY JAZZ: 8 lettres qui sonnent bien, un nom qu’on retient et qui fait mouche. Le nom d’une marque ? Presque ! Car derrière ce pseudo se cache un jeune trentenaire dopé à la réussite, un exemple de motivation et de positivité…si bien qu’on pourrait imaginer une Tony Jazz Academy, sorte de booster pour les jeunes en manque d’ambition et d’envies !
Tony a grandi entre la Guadeloupe et une banlieue du 93, un environnement qui l’a forcé à être débrouillard et à développer “une mentalité de mec qui se démerde, qui fait ce qu’il faut quand il faut“. Ainsi il monte sa première boîte à 20 ans, avec moins de 2000€ sur son compte…depuis il en a monté 6 !
Rapidement il se montre excellent en conseils marketing et va mettre son expertise aux profits de dirigeants de petites et grandes entreprises, dans le monde : malin, non?!
Mais vous avez sûrement entendu parler de Tony Jazz lors de l’investiture d’Obama à la Maison-Blanche en 2008. Tony avait défrayé la chronique en composant le titre “Change has come“, téléchargé des millions de fois sur internet. Le genre d’expérience qui le mène à rencontrer Will.I.am (rien qu’ça).
Repéré par Alain Juppé, il devient en 2014 conseiller en innovation et est nommé Président du FIB, le Forum de l’Innovation de Bordeaux. Pendant 2 ans il aidera plus de 200 entrepreneurs aux projets innovants à faire du business, à créer du réseau. Puis la loi de métropolisation passe par là et le FIB fusionne avec une autre structure. Tony avait fait le job, il passe à autre chose !
© Chris ChCouly |
Aujourd’hui il s’éclate avec sa boîte de conseil en marketing : “mon objectif c’est de réussir à présenter la terre entière à mes clients”. Ne cherchez pas le site web de son agence, Tony n’en a pas ! Tout repose sur les recommandations et le bouche à oreille. “Je ne travaille que s’il y a des résultats” précise-t-il, et visiblement, résultats il y a puisque Tony vadrouille dans le monde entier pour distiller ses conseils en lancement de produits et faire des RP.
© Dagency |
Alors success story ? Presque ! Tony a parfois essuyé quelques échecs mais ne s’est jamais laissé abattre. Et de citer Steve Jobs qui expliquait en 1984 : “En Europe, l’échec, c’est très grave. Si, en sortant de l’université, vous loupez votre coup, cela vous suit toute votre vie. Alors qu’en Amérique, à Silicon Valley, on passe son temps à échouer ! Quand on se casse la figure, on se relève et on recommence.”
Pour les prochaines années, Tony nous réserve des surprises, des projets tenus secrets, et des rêves, dont celui de créer un hôtel à Bordeaux. Stay tuned !!!
2 commentaires
Pour tout te dire, c’est le nom de l’artiste qui m’a fait cliquer sur cet article. Ce jeune homme nous démontre qu’il suffit de croire en soi et se donner les moyens pour réussir.
exactement !!!!!!